Soumise trop tôt (2eme partie)

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il y a 6 ans

Voici la suite de cette histoire que j'ai publié il y a 2 ans déjà ici. Bonne lecture.

Je ne réussis clairement pas à maitriser Simon et à lui imposer ma volonté. Je ne m’avoue pourtant pas vaincue si vite, mais plus les jours passent et plus il prend un ascendant très clair sur moi. Plus je cherche à me rebeller, plus je suis mise au pas et les punitions se suivent et deviennent de plus en plus dur. Son charisme et sa prestance me coupe de plus en plus l’envie de le tester. Juin est maintenant la et je participe peu a peu a la vie de la maison comme son livret me l’ordonnait. Un dimanche, Simon vient me parler :

« - Tu vas préparer le repas ce midi et tu suivras la recette qui est écrit sur les fiches que j’ai placé sur le plan de travail de la cuisine. Tu prévois un repas pour 4 personnes car nous avons des invités. Tu dresseras la table, assureras le service et tu débarrasseras la table après le repas. Ensuite, tu feras la vaisselle et tu pourras profiter de la présence de nos invités ensuite. Inutile de te dire que tu as intérêt d’être à la hauteur et que tu dois choyer nos invités du jour. Je tiens à être fier de toi au départ de nos invités. »

Il me prend vraiment pour une Cendrillon et je n’avais pas l’intention de lui faire plaisir. Lorsque la sonnette de la porte d’entré sonne, je vais ouvrir pour découvrir mes parents. Ni une, ni deux, je fuis la maison de Simon. C’en est trop pour moi et je n’assume clairement pas la situation dans laquelle Ils me placent tous.

Je passe ma journée à errer partout et nulle part et preuve que je suis perdue, je ne cherche même pas à retrouver les potes. En rentrant tard le soir, j’espère juste que mes parents ne soient plus présents. Simon m’attends assis tranquillement sur le canapé et tête basse, j’attends patiemment la punition qui va arriver. Simon me prends le poignet et m’allonge sur ses genoux. Devant mes parents que je n’avais pas vus, il m’administre une fessée sans enlever le moindre vêtement et que je ne fuie pas. Pas une larme ne coule sur mes joues malgré la douleur. Il n’y va pas doucement et cette fessée me semble même interminable. Lorsqu’il a fini, il me relève puis me dit:

« - Tu sais dans quelle chambre tu vas dormir cette semaine. Tu peux déjà y aller et je viendrais fermer la porte dans un instant. »

Je n’oppose pas la moindre résistance. C’est en me relevant que je constate la présence de mes parents et je n’ose même pas les regarder dans les yeux. Je descends en direction de cette « cave » qui me sert de chambre lorsque je suis punie. Je n’ai rien mangé le midi et rien le soir et pourtant, je n’ai pas faim. Je crois que la présence de mes parents, c’était de trop pour aujourd’hui et trop tôt dans ce que tente de faire Simon dans ce qu’il appel mon dressage.

La fin de l’année scolaire sonne le glas des derniers espoirs de passer en 3eme. Si mes notes ont un très léger regain de forme, c’est trop peu pour espérer passer et le bulletin de juin confirme la sanction, je dois redoubler une nouvelle fois. Pourtant, Simon se rend à un entretien avec le principal et mes professeurs.

Présente malgré moi, j’écoute Simon se porter garant d’une 3eme fulgurante, pleine de travail et il s’engage même sur une note globale de 16 que j’obtiendrai a la fin de l’année scolaire prochaine. Après 2h00 d’échange avec le corps enseignant, je suis à mon tour interrogée sur mes intentions en vue la prochaine année scolaire. Je ne me sens pas convaincante mais après délibération, Le principale acte mon passage en 3eme mais sous conditions. Si en Décembre mes notes ne me laissent pas la moindre chance pour le brevet des collèges, je serais exclue de l’établissement et Simon ajoute qu’il donnera la consigne a mes parents de m’envoyer en pension en Allemagne.

Avant de quitter le collège, signe du début des vacances d’été, mon hôte s’entretien en privé avec le chef d’établissement et après 15 minutes me rejoins avec un gros carton qu’il porte péniblement.

De retour dans la maison, je demande l’autorisation (une nouveauté pour moi) de sortir. A ma grande surprise, j’obtiens le droit de m’aérer mais une consigne très claire m’est donnée :

« - Tu as le droit de sortir mais tu dois être rentrée pour 18h00. N’oublie pas que tu as le repas à préparer.

  • Je peux avoir mon portable ?

  • Non, tu feras avec ta montre, à l’ancienne. Maintenant profites avant que je ne change d’avis. »

Il est 14h45 et je file à grand pas vers le point de rassemblement du groupe. Ils sont tous présents mais a mon arrivée, tous partent. Tous ? Non. Mat reste :

« - Tu te souviens qu’on existe ?

  • Ce n’est pas ma faute j’te jure, il m’arrive un truc de fou.

  • Vas-y, laisse tomber. Tu peux te casser, tu ne fais plus partie du groupe.

  • Vous ne pouvez pas me faire ca, je suis une fille du groupe…

  • Ici, c’est moi le chef. Déjà que tu me refuse de coucher ensemble depuis le début, passe. Mais tu disparais pendant deux mois et tu veux qu’on te garde ta place au chaud tranquillement ? Et puis, avec tes tenues qui font peur, tu ne ressemble plus à la Coralie que j’ai connue et tous les autres sont d’accord avec moi. Rentres chez toi gamine.

  • T’es qu’un connard. Tu penses qu’à me sauter depuis le début et tu crois que c’est comme ca qu’un vrai chef gère un groupe ? T’es qu’une merde. Je crois en effet qu’on n’a plus rien à ce dire. »

Meurtrie par mes soi-disant amis, je me mets à courir sans savoir ou aller. Machinalement, je me retrouve devant la maison de mes parents. Mon père m’ouvre très surprit de me voir. Dans le salon, devant mes parents, je me livre comme jamais en 5 ans.

« - Papa, Maman, Je vous demande pardon. Le décès de grand-mère m’a fait mal et j’ai refusée de voir les choses en face. Je vous ai fait souffrir et je me suis fait souffrir. Je sais que ces mots ne remplaceront pas tout le tort que je vous ai crée mais je vais tout faire pour retrouver votre confiance et vous rendre à nouveau fiers de moi. Je vais suivre le mode de vie de Simon comme jamais et rattraper mon retard a l’école. Reprenez moi et accordez moi votre confiance, j’ai trop besoin de vous. »

Ma mère en larmes en me sentant sincère pour la première fois en 5 ans, n’a pas pue me répondre. En revanche, mon père a prit le temps pour analyser la situation et les attentes qu’ils ont placés en moi a travers Simon.

« - Ma chérie, tu nous manquent aussi. Ta mère et moi voulons croire en toi et en tes paroles. Mais tu comprendras parfaitement que nous ne pouvons être certains que ce n’est pas une ruse de ta part. Si tu es si déterminée à rentrer dans le droit chemin, tu vas retourner chez Simon et te mettre au travail pour ta 3eme. Tu as beaucoup de retard à rattraper et ce n’est qu’a la fin de l’année scolaire à venir qu’on avisera avec Simon pour ton avenir. »

Il est 17h et je rentre chez Simon. Dans le salon, impassible, il ne dit pas un mot, fidele a ses habitudes. Les seuls moments où il me parle, c’est pour dicter ses ordres. Je suis en larmes continue depuis 5 minutes et il reste totalement insensible telle une machine.

J’aimerai tant casser cette armure qu’il a, mais j’en ai pas le courage, ni la force. Plutôt que d’espérer un peu de compassion de sa part, je m’isole dans ma petite chambre ou je retrouve le fameux carton. Ouvert, je peux librement constater qu’il contient pleins de livres scolaires et il n’est pas difficile de comprendre mes activités des prochains jours. Des cours de 6eme, de 5eme et de 4eme pour rattraper le retard cumulé pendant ces 5 années.

Dès le lendemain, Simon me donne le planning quotidien à suivre à la lettre sous peine de punition. Le moins que je puisse dire c’est qu’il n’y va pas de main morte. Du lundi au vendredi, réveil a 7h00, fin du petit déjeuner 7h30. Douchée et habillée à 8h00 avec la tenue choisie par Simon et il y a que des tenues classique et neutre. Travail scolaire de 8h00 à 11h45. Préparation du repas pour 2 personnes de 11h45 à 12h30 selon les repas. Déjeuner a 12h30 avec Simon qui n’a qu’une heure pour manger. Après le repas, je débarrasse, je fais la vaisselle et retour aux cours de 13h30 à 17h30, heure du retour de Simon. De 17h30 à 19h00, je présente mes travaux effectués, puis je me repose avant de préparer le repas du soir à 19h30 pour un diner à 20h00. Comme pour le midi, je dois débarrasser la table et faire la vaisselle. Et cerise sur la gâteau pour des vacances d’été, l’heure du couché est fixe et sans discussions possible à 22h00. Pour les samedis et dimanches, je peux me levée à 8h30 au plus tard, je suis dispensée de révisions mais j’assure les repas, la vaisselle et tout l’entretien de la maison a l’exception d’une pièce qui reste fermée a clé et dont je n’aie jamais pu voir l’intérieur. Simon m’a affirmé qu’il s’agit d’un débarras mais faute de preuve, je ne peux que le croire. Le vendredi soir et samedi soir, je suis libre de me coucher a l’heure de mon choix et même de surfer sur internet, mais sous le contrôle du Maître de maison. Enfin, le dimanche soir, c’est extinction des feux à 22h00 pour me lever le lendemain à 7h00.

Juillet et Aout ont filés à grande vitesse malgré le faite que je n’ai pu m’amuser. Si des sorties organisés par Simon m’ont permis de bronzer un peu, je n’ai pas vraiment eue des vacances traditionnelles. La rentrée scolaire se passe sans encombre et après 2 mois, Simon et moi sommes convoqués par le corps enseignant de l’établissement.

Le principal prend la parole :

« - Merci d’avoir répondu a notre convocation. Nous avons souhaités vous voir car après 2 mois de l’année scolaire, nous notons les réels progrès dont vous faites preuve. Tant sur le plan de l’assiduité, du comportement et de vos notes. Toutefois, il nous semble évident que votre retard est trop important et que nous sommes réellement pessimistes sur votre chance de réussite a l’examen final.

  • Monsieur, je vous assure que je fais le maximum pour réussir, laissez moi ma chance de vous montrer que je peux être reçue.

  • Vous avez 2 mois pour passer au dessus de 11 de moyenne générale sans quoi, compte tenu de votre passé dans l’établissement et de votre âge, vous devrez vous réorienter. Monsieur, voici un bulletin intermédiaire des notes que Coralie a obtenues depuis 2 mois et avec un 8 de moyenne générale, nous sommes loin du 16 que vous nous avez promis. Certes, c’est nettement mieux que le 5.75 de fin de 4eme, mais je ne vous cache pas mon pessimisme.

  • Je reste confiant en la capacité de Coralie d’y arriver. Le travail sera plus sérieux encore et rien ne sera laissé au hasard. Elle aura le 16 de moyenne promis pour passer l’examen et elle aura mieux que 11 de moyenne dans 2 mois.

  • Nous nous reverrons dans 2 mois, juste avant les vacances de noël pour fixer son avenir. »

Dans la voiture, sur la route du retour, je suis abattue. J’étais convaincue d’avoir mieux réussis ces 2 premiers mois et déjà, je redoute la réaction de Simon une fois rentrés. Réaction qui ne tarde pas à être forte puisque, le rythme de travail scolaire est automatiquement augmenté et le contrôle de mon travail personnel est intensifié. L’apparition d’une baguette fine vient compléter l’obligation de concentration et de résultats. Pour la première fois depuis des mois, je sens l’omniprésence de Simon sur mon travail et j’entends cette baguette claquer sur la table à la moindre note ne correspondant pas aux attentes. Pourtant, jamais il ne me frappe. Pas plus qu’il n’a de gestes déplacés ou des mauvaises intentions sur moi, Simon montre un respect digne de la confiance que mes parents ont placé en lui.

Les 2 mois qui me mènent à mon incertain avenir scolaire, sont un enfer monstrueux. Mes nuits ont fortement raccourcies au contraire de ma charge de travail scolaire ou ménagère. Sans m’en rendre compte, Simon fait totalement de moi ce qu’il veut et je lui obéis aveuglément.

Le jour de la convocation qui doit sceller mon avenir scolaire, je tremble comme une feuille morte. Je redoute plus la réaction de Simon que le couperet du principal. Pourtant, une fois dans le bureau de celui-ci, je suis surprise de le voir seulement accompagné de mon professeur principal et de….mes parents. Le principal annonce la sentence :

« - Coralie, je ne sais pas quoi dire à part bravo. En effet, vous avez réussis ce qu’aucun de vos professeurs ou moi-même ne pensions possible. En effet, votre moyenne générale dépasse 11.75. Si votre moyenne la plus basse reste le sport avec 9.5, les autres notes sont bonnes avec même une moyenne en français qui s’élève à 16.25. Il y a 2 mois, vous n’étiez qu’a 11 en français et c’était la seule note au dessus de 10. Bravo à vous, vous pouvez continuer vers le brevet en gardant ce sérieux et cette envie. (Vers Simon) Je ne sais pas comment vous avez réussis ce miracle, mais Coralie vous doit beaucoup. Je commence à croire que le 16 promis a l’examen est réalisable même s’il me semble très ambitieux. En tout cas, soyez fier de son travail et de votre détermination.

  • Merci, je connais Coralie depuis sa naissance et j’ai toujours cru en elle. Ce soir, elle a franchie une étape, mais elle est loin de l’objectif fixé. Il lui reste beaucoup de travail à accomplir pour être enfin au niveau qui doit être le sien et qui était le sien en primaire. Elle a 6 mois pour rectifier tout ca et elle va y arriver.

  • Je commence à croire que vous dites vrai. Votre méthode est un mystère, mais je dois reconnaitre qu’elle a fait ses preuves. Nous aurons grand plaisir à revoir Coralie début Janvier. »

Bien que totalement spectateurs de la situation, ma mère verse de chaudes larmes et mon père a du mal à contenir son émotion. A la sortie du collège, Simon m’accorde une semaine de vacances chez mes parents :

« - Coralie, tu vas passer une semaine de vacances avec tes parents. Profites en pour te reposer car c’est la dernière fois que tu verras tes parents avant les vacances d’été. Mais attention, être en vacances ne t’autorise pas à être inactive. Tu feras 1h00 de travail scolaire tous les soirs minimum et surtout, tu accompliras les taches domestiques pour soulager ta mère. Tu sais que je saurais tout si tu n’obéis pas et ou tu passeras tes nuits si je dois te punir.

  • Oui Simon je ne vous décevrais pas, Je saurais me montrer digne de votre confiance.

  • Tu as plutôt intérêt. Tu devras être rentrée le dimanche dans 9 jours pour 18h00 au plus tard, à pieds et sans la moindre seconde de retard.

  • Oui Simon, je serais à l’heure. »

Simon s’affranchit de mes parents et c’est la boule au ventre que je quitte mon mentor, mon guide, mon Maître. A peine parti, je sens comme un manque, un vide. Certes, je suis heureuse de retrouver mes parents mais c’est la première fois depuis 8 mois que je quitte Simon et je n’explique pas cette sensation de manque à son égard.

Dès mon retour à la maison, je ne manque pas de recevoir les félicitations et la fierté de mes parents quand a mon redressement spectaculaire. J’apprends qu’il ne ce passe pas un jour ou ils ne prennent pas de mes nouvelles et qu’ils savent tout de ce que j’ai vécue chez Simon. Il ne leur a rien caché, pas même les sévères punitions subies. De mes nombreuses nuits a la cave avec une couverture et un matelas sans chauffage aux coups de baguettes sur la table ou tout ce don Simon a eu recourt pour me dresser. S’ils reconnaissent avoir émis des craintes sur la méthode employée, ils reconnaissent pour le coup son efficacité.

Par reflexes, j’aide ma mère à préparer le repas et a dresser la table ce qui ne manque pas de l’impressionner et ce qui occasionne une chaleureuse accolade, un vrai câlin mère-fille comme nous n’en avons plus eues depuis plus de 5 ans. Après le repas et pendant que je m’attèle a la vaisselle, j’ai un gros coup de blues.

« - Que t’arrive-t-il Coralie ?

  • Maman, il me manque. C’est bête, mais Simon me manque.

  • Je vois. Simon avait raison sur ce point la aussi. Tu es amoureuse ma fille.

  • Hein, non. Il est trop vieux et puis il n’est pas mon style d’homme. Mais son charisme, sa prestance me manque. Pendant 8 mois, il a réussit à être plus fort que moi la ou personne n’osait plus rien, pas même vous. Je me suis habituée à sentir son omniprésence sur moi. Il me manipule comme il veut et je n’ai jamais réussis à le duper ou lui cacher quoi que ce soit.

  • Ma chérie, je ne te parle d’amour au sens propre, mais d’amour comme tu en as pour ton père ou moi. Et dire que tu ne voulais pas le voir le jour ou nous t’avons laissé chez lui…Bref, tu t’es attachée a lui. Et tu as raison ma chérie, c’est vrai qu’il t’a totalement transformée et bien au delà de nos espoirs. Nous sommes à nouveaux fiers de toi. Tu vas réussir ton examen et reprendre la place que tu n’aurais jamais du quitter. Celle d’une jeune femme modèle et qui se donne les moyens de réussir. »

Je passe une belle semaine avec mes parents et les cadeaux que je reçois pour noël sont simples mais je n’ai plus la même exigence que l’année précédente. Je suis surtout heureuse d’avoir eue le soutien de Simon pour offrir un très beau cadeau à mes parents, une croisière de rêve pour 2 personnes. L’effet est garanti et leur joie indescriptible. Une page est tournée.

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